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Les 8 heures du Castellet - 14 et 15 septembre 2013 - COMPTE RENDU
PHOTOS - NOGARO - 2013 CHRONOS - NOGARO - 2013

L'été indien ... ou presque ...

Quelle rentrée !!!

Pour cette première course du second semestre, nous avions rendez-vous sur le site exceptionnel du Circuit Paul Ricard.
Le circuit des superlatifs. De tous les superlatifs.
Suite à cette longue pause estivale, surtout pour ceux qui n'avaient pas foulé le sol des Ardennes, les visages de nos amis portaient des signes de manque évident. Les yeux injectés. Les mains tremblantes. Le filet de bave aux commissures. Spasmes...

Ce fut le premier constat lorsque que nous avons retrouvé l'ensemble des camarades le vendredi soir.
Le second constat était prévu malheureusement. Anticipé.... et confirmé.
L'OMS nous avait alerté dès le mois de juillet (pour les plus instruits d'entre vous, nous rappelons que l'OMS n'a aucun rapport avec L'Olympique de Marseille"S"...) : un syndrome inévitable allait frapper de plein fouet les membres des Fun Racing Cars. Il nous fallait mettre en place un cordon sanitaire. Ce fut chose faite sitôt l'alerte donnée : place à l'organisation de l'opération D.T.C.
Ce qui d'ailleurs effraya Olivier P. qui refusa d'y participer car il se trompait dans la signification de cet acronyme : Découvre Ton Corps. Ceci dit, il aurait eu peur de toute façon. En effet, quelques uns de nos pilotes, team managers, mécaniciens... ont été frappés d'aérophagie cet été !
L'origine de ces maux proviendrait d'une surconsommation de barbecue, grillades, rosé, PATATES, saucisses et autres accessoires.

Certains ont bien profité durant ces vacances. Ah les s... ! (exception faite de Vincent R. qui nous a sculpté un corps d'athlète durant ces derniers mois (même Jean Pierre R. est jaloux) ; certaines femmes ayant peine à se retenir de lui sauter au cou, sa femme est désormais contrainte de venir sur les week-end de Fun Racing Cars !). Pour y remédier nous mettons en place le vendredi soir un FFF : Footing For Fun.

Nous avons reçu 423 certificats médicaux dispensant leur détenteur de tout exercice, compte tenu des conséquences désastreuses que cela pourrait engendrer sur leur santé déjà approximative. Comme de bien entendu, ce sont ceux qui avaient le moins besoin de cette opération qui se sont inscrits. A quelques exceptions bien sûr. Nous avons réuni une trentaine de valeureux guerriers pour le départ de la FFF : au choix un tour du 5,8 km, deux tours ou... trois tours.

François B. de RKM tourne toujours pour vous donner une idée... C'est bien le signe que ce team connait une hygiène corporelle irréprochable, tant sur le plan de l'alimentation, que de l'exercice. Son team manager y veille scrupuleusement et c'est tout à son honneur. Nous souhaitions mettre l'accent sur ce soin louable, et trop souvent dénigré. Bravo Eric L. de donner l'exemple pour lutter contre la sous-nutrition et la déshydratation.
Voilà chose réparée.

Nous vous passerons les exploits des uns et des autres, les photos parlant d'elles mêmes. Signalons toutefois le bel exercice de Jean-Louis S. qui a réalisé sa boucle en respectant l'intégralité du circuit, et de la ligne de course ! Merci aussi de ne pas vous moquer du short échancré de Jérôme D.C., c'est sa tata Louisa qui lui a envoyé du Portugal quand elle a appris qu'il participait.

Les détracteurs de cette opération D.T.C. ont été nombreux vous l'imaginez bien. Un véritable coup d'état a été tenté par quelques généraux rebelles ; les leaders de cette tentative avortée ont été identifiés et un mandat d'arrêt, avec travaux d'intérêt général pour leur corps, a été lancé (avec un soutien de leurs femmes en tête, présidé par Eugénie P.) : ainsi si vous avez des informations permettant d'arrêter Olivier P., Pascal A., Franck E., Jean L., Patrick L., Jérôme L. et autres Franco L. ; merci de nous les faire suivre.

Il y aura bien évidemment d'autres opérations D.T.C. car il reste un travail considérable à réaliser. La lutte continue !!!

Cinquième rendez-vous des Fun Racing Cars

Contrairement aux apparences nous étions aussi sur ce magnifique tracé pour le cinquième rendez-vous des Fun Racing Cars de cette saison. Il y a des records de poids, mais il y a aussi des records de fréquentation : 59 Fun Cup et 30 Mitjet en ordre de bataille. Plus de 300 pilotes en totalité ! Et contrairement à ce que peuvent avancer les mauvaises langues, une météo superbe (il n'a plu que dimanche matin de 8h à 13h, afin de jauger les compétences de certains gras-secs sur le gras-mouillé...).

Les photos parlent d'elles même. Après avoir donc bien restructuré quelques corps, il fallait tout de même garder les principes fondateurs : descente au Bard'O à Sanary, qui est au Castellet, ce que la Jamaïque est à Dijon. Cadre magique, et ambiance décontractée. De quoi fêter dignement ces retrouvailles. Mais pas trop quand même... car la journée de samedi est dense ! Les premiers essais sont prévus à 8h30. Indécent !

 

C'est la Supertourisme 2L qui ouvre le bal par une séance d'essais libres, et les qualifs dans la foulée.
Les pilotes sont fins prêts. D'autres sont faim prêts. Du coup ils ne sont pas tous fins. Mais tous sont prêts.
Conditions sèches, piste chaude froide mais plutôt froide. Les animateurs du week-end se dessinent rapidement. La 66 de Baticonfort achète la première place. Depuis que Pascal A. est entré dans les ordres (ne sort plus, ne boit plus, ne gueule plus... le John Travolta de la Fun Cup n'est plus ! ) les résultats parlent tous seuls. Jérôme D.C. désormais le vénère.

La 71 de DNS, la 3 d'Orhès VIP, la 1 de VIP, la 999 de TFE sont dans la tête. Pas la 21 des Mac Do, mais simplement par volonté de ne pas déranger. Cet équipage n'est composé que de gentlemen. Si on mangeait aussi bien dans leurs restaurants qu'ils sont gentlemen, ils auraient trois macarons (ce qui serait une première !).

On range les Mitjet et direction le briefing. L'instant religieux par excellence. Même Pascal A. et Jérôme D.C. sont sages comme des images (mais pas celles que l'on donne aux enfants en récompense). La parole donnée fut claire haute et intelligible. Nous prendrons pour preuve le comportement global du week-end sur la piste : les pilotes transis par la peur de représailles physiques, ont pour une fois (et c'est pourtant rarissime au Castellet) respecté les consignes (dans les grandes lignes, voire en gros pour d'autres...).

On se rue alors dans les Fun Cup. Certains, dont la plastique n'a rien à envier au David de Michel-Ange ni à l'Obélix d'Uderzo d'ailleurs, commencent à dégager une transpiration excessive, plus communément appelée hyperhidrose.

L'hyperhidrose désigne la production excessive de sueur par les glandes sudoripares, et concerne entre 1 et 3% de la population (hommes et femmes). La transpiration est dite excessive lorsqu'elle devient incommodante : elle peut être localisée (mains, aisselles, pieds) ou généralisée (dans ce cas liée à une pathologie). Le stress est une cause fréquente de ce phénomène : face à une situation de stress, l'augmentation du taux sanguin de certaines hormones (ex : adrénaline) entraîne une surexcitation des glandes sudoripares, à l'origine de la transpiration excessive. La transpiration excessive (principalement nocturne) fait partie des signes dits « climatériques » de la ménopause, avec les bouffées de chaleur.

Certains de nos pilotes seraient donc en pleine ménopause !?!
Étrange...

Le temps est beau. Les temps sont bons. La joie est partout ! Nous le rappelons à travers ces compte-rendus, qui ne rendent compte de rien, mais il règne chaque fois une ambiance conviviale fantastique.

Lecteurs sceptiques de cette vulgaire prose, il vous suffit de venir un week-end pour en être définitivement convaincu. Il n'y a donc aucune prétention de notre part : les sourires sont sur toutes les lèvres (sauf chez Olivier P. qui ne sourit que quand il rédige une facture...). Débutants et professionnels sont au coude à coude. Un grand coude quelquefois avec près de 18 secondes au tour. Ah quand même !

Mais ce n'est pas grave. Le plaisir est là. La 137 d'Eurodatacar 2 est dans le match, comme la 911 de SPI, la 83 de V Ri One, avec des VV et Ouaouane trèèès calmes ce week-end : Antoine d'avoir trop couru, Hervé de ne pas avoir couru... Les pilotes de la 135 des Eagle Driver ont l'air en forme, formes un peu larges pour certains, mais les chronos sont bons.
Durant ces essais libres, nous assistons amusés à quelques figures libres, elles aussi, depuis la salle vidéo.

Deux heures d'endurance

Après cette distraction délicieuse, nous enchaînons, et vient le temps de la mise en grille de la première course de ST2LM. Deux heures d'endurance. Superbe grille de 30 ST2LM, bercée par une lumière non moins superbe.

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La discipline règne. En première ligne nous retrouvons la 66 de Baticonfort avec Julien M. ou S. ou A. au volant et la 71 de DNS. La 3 de Orhès VIP et la 1 de VIP Challenge. La 999 de TFE, 5ème, a mis toutes les chances de son côté : Laurent D. s'est couché à 20h54... sans passer au Bard'O. Ceci présente un inconvénient : s'il ne brille pas sur la piste, il n'a pas d'excuses... Wait and see ! La 911 part dernière suite a un problème dans le premier tour des qualifs. Ce n'est pas une grande idée avec un Alain F. au volant : ça sent la remontée. Le départ est donc donné, et lancé, un peu élancé, mais propre (Louis était plus loin...).

Immédiatement la bataille s'installe entre la 1 et la 71. Personne ne lâche. C'est chaud !
Clément fait le job sur la 999, Laurent souffre... le manque certainement (on l'avait prévenu...).

Belle remontée de la 33 de Drive & More et de la 46 des Baby Vroom qui viennent arbitrer la lutte acharnée entre la 71 , la 1 et la 66. Tout le monde donne le maximum. Certains ont plus de maximum que d'autres. C'est flagrant. Mais quel plaisir !

La 2 et la 111 de VIP jouent la discrétion et remontent peu à peu de leur 11ème et 14ème place de départ. La 71 a la course gagnée... quand dans le dernier tour une défaillance mécanique permet à la 1 de s'emparer du titre in extremis. 1,167 secondes d'écart après 2 heures de course !!! La 33 ne pourra résister aux assauts de la 2 qui lui subtilise la troisième place : moins de 5 dixièmes de seconde les séparent !!!!!! La 28 ne voulant pas gagner sans Axel F. termine 16ème. La 66 ne pouvant pas gagner avec Pascal A. termine 7ème. La 999, 9ème par manque évident de Bard'O.
CQFD !
Ambiance.

A l'issue de la course, 12 voitures finissent dans le même tour et 13 voitures à un tour ... au bout de 2 heures de course.
Pilotes homogènes et voitures fiables. Pilotes fiables et voitures homogènes.

Le silence se fait dans le paddock

Place maintenant aux essais qualificatifs de la Fun Cup. Le silence se fait dans le paddock. L'instant est pesant.
Malgré le soleil éclatant, la lumière baisse sensiblement. Soudainement le vent se lève. Un vent trainant. Près du sol. La poussière se soulève par bourrasque et vient se mêler aux cheveux des femmes qui protègent leurs enfants. Réflexe naturel et précieux.

On se croirait dans la savane : l'instinct naturel fait que tous les animaux sentent quand l'irréparable est inévitable. Une voiture chauffe dans la voie des stands. La portière est largement entrouverte. Ouverte en fait. Quand tout à coup celui tant redouté apparait. Comme au ralenti. D'un pas lent, pesant, assuré et déterminé. Sur ce même rythme, il achève de mettre ses gants. Son regard est caché par une visière teinté, mais on le sent à travers son regard acéré. On détourne le nôtre. Par crainte. Par soumission. Le DRIVER est là !
Quelle aura. Quelle puissance...
Il s'installe au volant. Lève les bras. Les commis le sanglent. Les portes claquent. Le temps s'arrête alors. Silence.
Le silence assourdit le ronronnement des moteurs. Seul le vent bruisse légèrement. Silence. L'instant d'un battement de paupière, déterminé et avec une assurance digne des légendes, il avait disparu. On ne distinguait déjà plus que la silhouette de sa Fun Cup prenant la piste.

Jérôme Ryan Da Gosla allait se qualifier.

Puis la vie reprit son cours dans la pit lane. Il est vrai que du coup, quand les autres pilotes s'installent en voiture, ça parait un peu fade. Les jugements de valeur à l'emporte pièce ne valent rien, disait ma tante Emma. Pour ceux que cela intéresse les performances les plus brillantes de cette séance attribuées par le chrono sont revenues à la 137, la 216, la 164, la 94, la 149, la 163, la 911... mais bon comme il y a une tirage au sort, who cares ?

Les performances les plus brillantes de cette séance attribuées par nos yeux sont revenues à la 42 des Sexy Vroom et à la 911 de Sexy SPI, équipages qui surclassent tous les autres par la composition (quasi exclusivement féminine, si on exclut quelques parasites) et par les phases de progression entre le samedi matin et le dimanche soir : certaines ont gagné 10 secondes au tour ! Qui peut se vanter d'avoir fait de même ??? Même Alain F. n'y arrive pas !

La fin de cette séance d'essais est marquée par le même constat que pour la précédente : bons ou mauvais, les pilotes sont heureux et viennent se rafraichir autour d'un délicieux Perrier-Houblon pour chercher les dernières secondes nécessaires. C'est beau.

L'enchaînement, désormais quasi naturel, amène les ST2LM en piste pour la seconde course de deux heures. La grille de cette course était déterminée par le résultat des essais avec inversion de la grille par moitié. Il a fallu 27 minutes à Jean-Pierre M. pour comprendre que le premier est quinzième. En même temps on fait des courses de voitures...

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Le départ est donné sous les hurlements rageurs des moteurs, et grâce à l'application d'un Louis déterminé, celui-ci est médiocre (pas Louis, le départ). La 46 de Baby Vroom vire en tête avec la 111 de VIP collée aux pneus. La 911, partie 17, remonte rapidement dans le top 3.

TFE mène la danse. Derrière on tient bon. Au bout d'une heure 12 voitures sont dans le même tour, et 21 voitures avec 1 tour maxi d'écart. Les écarts sont infimes. Sur la 3, et pour sa première participation en Mitjet, Salim B. tient bien sa place. La 33 de Drive & More joue les premières du top 5. Ça barde sur l'asphalte !!!

Petite pensée pour le pauvre Axel F. retenu par ses obligations familiales, alors que les autres prennent un pied ÉNORME... On sent cette ferveur chez tous les pilotes. La 911 s'installe en tête durablement. La 1 plante sa tente juste derrière (pas sa tante François G., sinon c'est drôle mais ce n'est pas pareil...). La 46 pense faire de même, avant que la 3 ne vienne à quatre tours de la fin lui ravir la troisième place du podium. La 70 d'E-Race termine 8ème, alors qu'elle était 22ème dans la première course. Nous avons eu l'explication de Mathieu V. mais nous n'avons pas écouté...

La 69 du Jetho Racing s'adjuge une belle 10ème place : un week-end trop calme pour leur organisme habitué à davantage d'excès désinhibant, mais pour son premier voyage de noces Thomas A. avait décidé d'être sage. Au final 6 voitures dans le même tour et 15 voitures à seulement un tour d'écart. La pénombre gagne les stands, il est temps d'aller se mettre les pieds sous la table. Chacun profite des nombreux plaisirs locaux. Au lit de bonne heure... ou presque !

Podium Supertourisme 2L Mitjet - Jerez 2013PODIUM
SUPERTOURISME
2L MITJET

COURSE 1

1 - 1 - VIP CHALLENGE
2 - 71 - DNS
3 - 2 - VIP CHALLENGE

Podium Supertourisme 2L Mitjet - Jerez 2013PODIUM
SUPERTOURISME
2L MITJET

COURSE 2

1 - 911 - SPI
2 - 1 - VIP CHALLENGE
3 - 3 - ORHES/VIP CHALLENGE

Le lendemain matin le soleil se lève... PAS !!!

Des cordes ! It's raining cats and dogs ! C'est vraiment c... cette expression.
En même temps, quand on est capable d'inventer le rugby...

Les pilotes, dont l'assurance avait dépassée celle d'Alain F., commencent à déchanter. L'eau ne partira pas de la piste avant que le départ ne soit donné. Et même longtemps après ...
La piste est détrempée avec un mélange de gras qui donne un léger rendu de patinoire. Les bons pilotes jubilent. C'est là que nous allons voir les Athéniens ... Et la Tour de Pise à Rome.

Le hasard avait désigné la 206 de Défi Performance en pole position aux côtés de la 60 de Cofigex. Deux voitures du même team. Le hasard fait bien les choses pour certains... Juste derrière la 83 et la 149 de... Défi et Performance ! Une mise en examen a été déposée à l'encontre de François G. et de Julia R. pour entente illicite, collusion d'intérêts (collusion c'est illégal mais ça n'est pas sale ! ) et détournement de chance au profit d'un pourvoyeur de péniches.

Simplement pour souligner que la chance et le sort sont régulièrement plus gentil avec certains qu'avec d'autres... nous voudrions (ou pas...) bien connaitre la main innocente ! On a même gâté la 194 pour sa première course parmi nous : dernier !

Le départ, très élancé pour le coup, fut donné sous une légère pluie, et un sol encore largement inondé. De toute façon la pluie s'est intensifié régulièrement jusqu'à 13h. A ce stade de la rédaction, il me vient une interrogation : vu la longueur actuelle de la bafouille, est-il bien sage que je vous conte le rendu heure par heure ? Rien n'est moins sûr.

Et pourtant on ne vous raconte pas tout. Nous aurions pu vous parler de ce formidable documentaire de National Géographic sur les hippopotames, qui peuvent ouvrir la gueule à 150 degrés (comme certains originaires de Fontainebleau, dont nous tairons les noms, secret professionnel oblige), ce qui en fait un des animaux les plus redoutables de la savane... A cet instant Vincent R. regarde sa montre. La sueur perle doucement sur son front. Voici maintenant 2h37 qu'il lit ce tissu d'âneries, alors que le dossier d'instruction attendu par Jean Pierre R. depuis lundi n'est toujours pas fini.

Retournez travailler !!!
Vous n'avez toujours pas compris que ceci est un cercle vicieux : plus vous les lisez, plus on les fait long afin de vous dégouter, mais plus vous les lisez !!! Indignez-vous avait dit le vieux Monsieur. Ne lisez plus cette vilaine prose. Osons l'abstention ! On va faire court pour conclure, et pour que Jean-Pierre ait son dossier.

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Le départ fut un peu rapide pour certains, qui ont prétexté ménager la monture... La 163 de Baticonfort s'empare de la tête de course malgré ce magnifique 360° dans le premier tour qui ne lui a fait perdre... aucune place. Trop fort Julien M.

La 193 de Tetris est dans son jardin au Castellet. La 164 de Delorme Compétition bien en rythme juste devant la 199 du Groupe Lemoine. Durant ces premiers tours on ne voit guère.

On vous avait dit piste glissante.
Quel doux euphémisme...
Dans la salle de vidéo surveillance de la piste c'est Holiday on Ice : environ 4 têtes à queue toutes les trente secondes ! Nous avons grillé les talkies des commissaires à force de les annoncer. Une fois l'ensemble du plateau habitué aux glissades, ce qui mit un certain temps, la course pris un cours plus traditionnel.
Ceci laissait le temps, soit après 2 heures de courses, pour la 199 de s'installer confortablement en tête. Devant la 4 de Côté Passion et de la 13 d'Eprim BLB. La 216 de PVI et la 31 Fun Cox 31 pour le quinté. Devant on roule vite et fort.

Certains sont contraints, et pas qu'à cause de la quantité d'eau, de sortir les avirons pour tenir le rythme. D'autres sont déjà avec le tuba et les palmes. Mais tout le monde s'amuse ! Et qu'y a-t-il de plus important ? Rien à part l'heure du casse croute ! La 193 de Tetris perd de précieuses places grâce à Franck E.

Pour votre plaisir (et le notre), nous vous laissons le soin d'aller, un par un, lui demander les raisons...
Le soleil commence à faire quelques apparitions, timides, puis s'affirme largement.
Les pilotes reprennent confiance.

Quatre voitures sont à la lutte : 199, 163, 4, 216.
D'autres aussi mais plus loin.

Les heures s'écoulent.
S'écoulent.
S'écoulent.
S'écoulent.

Le directeur de course présente le damier sur la 199 qui ne devance la 216 que de 31 secondes après 8 heures et sans safety car !
La 163 a pris le meilleur sur la 4 qui termine 4.

Podium Fun Cup - Jerez 2013PODIUM
FUN CUP
GÉNÉRAL

1 - 199 - GROUPE LEMOINE
2 - 216 - PVI/WRT
3 - 163 - BATICONFORT

Podium Fun Cup - Jerez 2013PODIUM
FUN CUP
CORPORATE

1 - 118 - L'EQUIPE
2 - 96 - LES TARTOUILLES KROLUES
3 - 119 - EURODATACAR

Podium Fun Cup - Jerez 2013PODIUM
FUN CUP
MEDIAIRE

21e - 33 - F2R
22e - 206 - DÉFI PERFO
23e - 96 - LES TARTOUILLES KROLUES

Podium Fun Cup - Jerez 2013PODIUM
FUN CUP
LUCKY

42e - 187 - PP 81
49e - 42 - SEXY VROOM
45e - 911 - SPI

Voilà comment conclure rapidement sur une course très belle, mais comme souvent bien plus passionnante dans la voiture que sur le bord de la piste. Dans tous les cas, nous scrutons les visages afin de discerner l'avis général des convives : les sourires sont toujours là, fatigués pour quelques uns.

Pas de doute possible : il nous faut renouveler l'opération D.T.C. !
Les pilotes manquent de physique.

Moralité :

Vivement les 5 tours de Ledenon !!!

 

PHOTOS - NOGARO - 2013 CHRONOS - NOGARO - 2013
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